
Ceci est une marque déposée (loooolll). J’ai pondu ce concept un jour en discutant avec ma cousine mais là je vais te raconter comment j’ai terminé en pleurs chez un gynécologue…(tkt c’est pas triste enfin pas trop, enfin moins que d’habitude, enfin je crois)
Donc je t’avais raconté l’an dernier dans : « Vous venez d’où? » ou #PayeTaGyneco comment j’avais pas du tout kiffé mon dernier rdv chez une gynéco…(une nana qui partait du principe que j’étais en couple hétérosexuel, que j’avais des rapports sexuels vaginaux, que je ne voulais pas d’enfant et que mon utérus devait être plein de fibromes parce que je suis une nana « jeune » de moins de 30 ans, sans enfant et que je dois venir d’une contrée un peu exotique pour elle, alors que j’avais pas encore ouvert la bouche, j’avais juste rempli son papier dans la salle d’attente)
C’est un secret pour à peu près personne ici, je suis célibataire so…j’ai eu la brillante idée d’arrêter ma petite pilule bien hormonale vu qu’elle ne servait à rien et que moi, quand qqch ne sert à rien ou ne me rend pas heureuse ben je m’en débarrasse.
J’avais déjà fait ça auparavant…enfin même juste plus tôt dans l’année et ça s’était très très très bien passé.
Sauf que là…c’était le grand n’importe quoi…j’ovulais plus trop, j’avais des règles genre euh tous les 40-45 jours si on veut faire une moyenne…un flux misérable et ça durait 1 jour, douleur plus ou moins aléatoire. Au début je m’en fichais royalement, en me disant arf c’est peut-être le stress (ce que j’aurais dit à d’autres) sauf que bon le stress j’en avais pas, une rupture j’en avais déjà vécue une plus grave juste avant, du sport j’en faisais moins que lors du dernier arrêt, mon poids était quasiment le même et puis ça durait quand même là…
Je me suis donnée quelques mois d’observation et en fait…c’était pas bien mieux. J’ai commencé à flipper, à me poser des questions.
En janvier, j’ai changé de savon et j’ai eu une poussée de boutons qui m’ont laissé de vilaines cicatrices sur les épaules et les fesses. J’ai cru à de l’acné et donc là j’ai vu :
REGLES IRREGULIERES + ACNE = SYNDROME DES OVAIRES POLYKYSTIQUES
Dans ma tête, il n’y avait plus que ça. Une obsession…des questions…
Je ne vais pas faire un post sur le SPOK parce que c’est pas le vrai sujet de cet article…mais en gros :
- Soit tu n’es pas dans un projet bébé et tu as des symptômes (douleur, ou juste le fait que toi ça te dérange de ne pas avoir tes règles souvent) et là on te propose des traitements hormonaux qui vont t’empêcher d’avoir un bébé et qui vont « régulariser » tes cycles
- Soit tu es dans une démarche d’enfants et là tu files en Procréation Médicalement Assistée pour qu’on t’aide à en avoir
- Soit tu n’es pas dans un projet bébé mais t’as pas de symptômes et là on fait rien
Techniquement j’étais dans le cas numéro 3…mais…
Du coup, je me suis demandée si j’en voulais vraiment vraiment pas, vu que mes ovaires étaient littéralement en train de crever quoi. Et puis même si je voulais, je ne pouvais pas, du moins pas « naturellement » (genre lors d’un rapport sexuel hétérosexuel vu que voilà quoi), du moins pas en France (vu qu’il faut être EN COUPLE pour avoir recours à la PMA ici, vu que voilà quoi), du moins pas comme classiquement dans les bouquins (ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants, vu que voilà quoi), dc fallait peut-être que je m’active, que j’aille sur un site de rencontre, que je trouve un mec, que je me marie, et si j’en trouve pas de mec mais que je veux un enfant, peut-être que je peux en faire un toute seule en allant ailleurs, est-ce que je veux vraiment faire un enfant toute seule? et puis pourquoi pas l’adoption au final? je vous jure que j’ai tapé « congélation d’ovocytes en Espagne » sur Google…OUI! MOI!
Anyway, j’avais mes angoisses mais je ne consultais pas. Parce que bien sur c’était encore plus angoissant. Et puis mes copines en ont surement eu un peu marre de moi lol donc elles ont commencé à oeuvrer pour que j’aille voir quelqu’un.
OUI MAIS QUI?
Vu que je ne me faisais absolument pas confiance pour faire un diagnostic, dans ma tête il me fallait la crème de la crème. (je te dis il n’y avait PLUS RIEN DE RATIONNEL DANS MA TÊTE)
J’ai donc entrepris de trouver unE gynécologue à Paris. Bon très vite, j’ai compris que ce serait du secteur 2. (j’ai rien contre les sage-femmes ou les médecins généralistes hein iels sont tout à fait compétent-e-s mais moi je voulais qqn de plus balèze que moi selon moi toujours dans ma tête pas rationnelle)
J’ai checké sur Gyn&Co (entre nous, mon rêve est qu’un jour je sois dessus mais bon, mais mes patientes elles savent pas que ça existe…elles n’ont pas trop internet…et puis je sais même pas si en fait je peux être dessus vu mon mode d’exercice, faudrait que je regarde), c’était compliqué, je ne trouvais pas (c’était surtout compliqué dans MA TÊTE). Et puis j’ai trouvé qqn, un mec, un vieux, pas très loin de chez moi. J’ai commencé à flipper parce que ça devenait un peu trop réel en fait. Donc j’ai recommencé à partir en cacahuète en mode « non mais bon ce serait bien quand même que je m’auto prescrive une écho d’abord, comme ça je lui ferai gagner du temps« . Ben voyons…et puis quitte à faire l’écho, pourquoi pas carrément me faire moi-même un toucher vaginal et un examen au spéculum… Dans ce genre de situation, j’ai quand même la bonne idée de toujours le dire à ma jumelle de vie, qui a écrit: « Tu te fais rien toute seule« . Et elle a mis 3 smiley qui soufflent de colère. C’était sérieux, elle me grondait là. Du coup j’ai maté sur doctolib, le dit médecin avait bien évidemment des dispo 4 jours après, jour où je ne bosse pas.
J’ai commencé à flipper sérieusement. Et puis le rdv est arrivé.
J’avais 10 minutes d’avance et lui 15 de retard. C’était pas grave, j’avais du temps mais j’ai quand même sérieusement pensé à me barrer pendant que j’attendais. C’était un vieux monsieur, qui parlait cool et qui avait des parois de portes si fines qu’on entendait tout. J’étais la dernière de la matinée je crois.
Je suis rentrée. Il m’a demandé ce que je voulais…et bien sûr je me suis auto-grillée :
« Mes ovulations m’inquiètent depuis plusieurs cycles«
J’avais préparé cette phrase depuis plusieurs jours, en mode « Prends mon problème au sérieux stp« . J’avais essayé de faire court et simple mais visiblement…
« Ya qu’une femme docteur-e pour me sortir un truc pareil »
Bref on a parlé de mes cycles cacas. Et puis il m’a demandé comment c’était : avant, jeune, sans pilule sans rien. Je savais où il voulait en venir, j’ai donc répondu : Normal, calé, 29 jours, 3-4 jours, douleur pendant 1h. Et là il me demande : « Il ne s’est rien rien rien passé là? un déménagement, un changement d’air, des problèmes au travail, du stress, la famille, le coeur, un mec, les amis, un changement d’ampoule dans l’appart? » J’ai ri, je savais EXACTEMENT où il voulait en venir et puis j’ai dit :
« Oui mais NON »
Je venais de m’auto-griller une 2e fois
Il m’a dit :
« Ya eu un Oui quand même, alors on passe aux aveux? »
J’ai senti mes larmes monter, j’ai compris où on en était, j’ai compris là tout de suite que j’avais pas d’ovaires poly kystiques ni aucun problème physique.
« Ben j’ai quand même arrêter la pilule parce que j’ai plus de copain«
Et là :
« Ben on y est…ça fait quand même beaucoup pour votre coeur, votre cerveau et votre corps d’arrêter à la fois une relation, du sexe et la pilule »
ECHEC ET MAT ou GAME OVER
On a fait l’examen, il a été génial, on a tout fait, le frottis, les seins, la tension, le poids et puis l’échographie afin de bien confirmer tout ça! :
VERDICT : 2 Ovaires, 0 kyste, flux OK, 2 trompes, un utérus vide, une vessie remplie avec mes 300mL de Nesquick du matin.
Je respirais…
On a fait la paperasse, il m’a expliqué les préservatifs, les histoires de retrait, comment retirer correctement un préservatif externe, comment utiliser un préservatif pendant les préliminaires…Et puis il m’a demandé si je voulais une ordonnance de pilule pour « Quand le prince charmant se pointera parce que c’est bientôt l’été » J’ai ri et j’ai répondu « Mouais, Pourquoi pas? » il m’a répondu
« Ah Ah Ah! Parce que vous pensez sérieusement que vous ne rencontrerez personne?«
Et là à la place de ce vieux monsieur ben je me suis vue moi. Cette MOI qui dit les mêmes choses, quasi mot pour mot, cette moi qui l’ai dit la veille, l’avant veille, la semaine d’avant et le mois dernier à tellement de dames, qui oui avaient des pb de règles, des ruptures sentimentales, qui ne croyaient plus en l’amour, à qui j’avais donné des mouchoirs, avec qui j’avais ri, à qui j’avais dit que l’amour était coin de la rue, qui étaient revenues en souriant pour me dire que oui j’avais raison, qu’elles voulaient de nouveau la pilule ou autre et je me suis vue à 60 ans continuer à faire encore ce beau métier. Il m’a griffonné une ordonnance pour 6 mois, a tout expliqué comme il l’aurait fait pour n’importe quelle femme.
Et puis en sortant, il m’a dit :
« Vous savez des fois le corps déconne pour qu’on se concentre sur ça plutôt que de voir qu’on est blessé plus profondément qu’on ne le pense«
Et là j’ai pleuré!
Parce que ouais c’était plus simple pour moi d’envisager que j’avais un syndrome des ovaires poly kystiques, que je devrais aller en PMA ou congeler mes ovocytes en Espagne plutôt que d’admettre que je souffrais « encore » d’une rupture entre adultes qui « techniquement s’est bien passée » et qui est « moins grave que celle d’avant« .
Mon corps n’était pas d’accord avec ça. Mon corps n’a pas encaissé la rupture. Mon corps a boudé parce qu’il n’était pas content, mon corps avait mal, parce que ma tête n’avait pas encaissé, parce que ma tête n’était pas contente, parce que mes sentiments étaient toujours là et que j’avais mal. Mon coeur voulait crier, je ne l’avais pas laissé faire alors il s’était allié avec mon corps.
Je ne pense pas que ce soit un hasard encore une fois si comme « par hasard » je me suis enfin décidée à consulter after Los Angeles, si comme « par hasard » il a eu ses mots là, si comme « par hasard » il restait un créneau ce jour là, si c’est arrivé maintenant…
Ce monsieur m’a dit ce que tout le monde voyait et que personne n’osait me dire je crois. Ce monsieur m’a dit ce que j’aurais pu me dire si je m’écoutais un peu plus…
Du coup, en rentrant, j’avais encore envie de pleurer, de tout lâcher, et j’ai tout lâché dans un métro quelque part entre Belleville et Bastille (tout dans la symbolique cette meuf, mais c’est pas ma faute, chui une vraie Drama Queen).
Alors je vais lui laisser du temps à mon corps, de comprendre, d’accepter et puis de refonctionner « correctement » quand il le voudra, on n’est pas pressés, on ne veut pas de gosses Moun et Moi et puis on veut être prêts, on veut un mec bien.
Le fameux concept du « Mec d’après » c’est un constat que j’ai fait qu’au final la rupture avec le mec APRÈS la bonne grosse rupture de merde avec soit une longue relation, soit une relation où tu t’es investie, ben celle là elle fait mal et elle dure! Parce que déjà tu as fondé beaucoup (trop) d’espoir dans cette relation parce que l’ancienne t’a fait du mal, (genre profondément) et puis parce qu’en fait tu te sens l’âme d’un-e champion-ne de la rupture, en mode « nan mais moi j’ai déjà vécu la pire rupture de ma vie, là ça va c’est oklm, j’ai survécu à ÇA donc là c’est du pipi de chat, là c’est rien, JE VAIS BIEN » ouais ben non en fait…la graduation c’est pas toi qui la fait…et toute rupture a son temps d’acceptation et il faut accepter d’avoir mal (un temps) pour aller mieux (après). Nier ses sentiments, c’est les repousser et tôt ou tard, ça te reviendra en pleine face (boomerang) ou au moment de tes ovulations…
C’est quand même pas anodin que ce soit mon système reproducteur qui déconne comme par hasard après une rupture hein…je dis ça je dis rien.
Love
PS: Ce monsieur ne savait pas ce qu’était le site Gyn&Co Je lui ai dit à la toute fin que bon je ne venais pas à l’aveugle chez lui tout de même. Et il a eu cette brillante phrase « je suis là pour aider les femmes quand elles veulent, pas pour leur faire du mal » J’ai kiffé.
PS2: Si tu veux les coordonnées de ce monsieur, tu peux m’envoyer un mail à nousaussionvoyage@gmail.com
PS3 : Après mon précédent arrêt de pilule post rupture, tout allait bien comme je te l’ai dit mais parce que j’avais pris le temps d’arrêter (4 mois), j’ai arrêté quand j’ai accepté le fait que j’étais célibataire et que je voulais arrêter les hormones . Cette fois ci, mon arrêt de pilule c’était le lendemain, quand j’étais en colère, triste et que je me sentais rejetée en tant que personne, en tant que femme, psychologiquement et physiquement.
PS4 : Fais gaffe avec le mec d’après, tu ne peux pas reprendre une relation là où tu as laissé la précédente, tu ne peux pas fonder tous tes espoirs de réussite dans une nouvelle relation sous prétexte que l’ancienne a capoté, ah et si ça se termine (peu importe la manière), sois indulgent-e avec toi-même, tu as le droit d’être triste, d’avoir mal, d’être en colère, tu as même le droit d’avoir le corps qui déconne parce que là ben ton coeur, il saigne. Mais promis, ça s’arrêtera un jour…
PS5 : Avant j’allais voir que des femmes gynécologues là je sais pas j’avais envie de tester et j’en ai marre de juger les gens sur leurs genres. Le fait est qu’il a été nettement plus pro et bienveillant que la nana que j’avais vue l’an dernier.
PS6: Le stress n’explique pas forcément tout (même si plus le temps avance plus ça grignote dans ma tête), pendant nos études on nous explique que c’est un diagnostic « d’élimination » c’est à dire une fois qu’on a bien vérifié qu’il n’y ait pas d’autres explications. D’où l’échographie même si on savait tous les 2 très bien ce qu’il en était. Les symptômes psychosomatiques existent vraiment et ne sont pas des affabulations ou des délires de « bonnes femmes », c’est qu’il faudrait peut-être juste qu’on arrête enfin de faire des médecines d’organes pour prendre en considération l’humain dans son entièreté avec sa vie, son environnement, son entourage et tout son corps, parce qu’en fait tout communique. Donc si qqch t’inquiète, n’hésite quand même pas à consulter que ce soit pour faire un diagnostic « médical » ou pour te rassurer.
PS7 : Je dis pas non plus qu’il y aura forcément le syndrome du mec d’après lol, je ne suis pas psy, ni coach et je suis pas du tout experte en relations inter humaines. Je te dis juste de prendre soin de toi
J’adore le P.S. 7 !
Pour le « je ne suis pas experte en relations inter humaines »? 😂
Comme toujours, tes articles me font rire et pleurer. Comme je n’ai pas eu de rupture avec le mec d’après, parce qu’avec le mec d’avant, je n’étais pas en couple en fait, et que le mec d’après, il n’est pas encore arrivé, je ne peux pas parler de cœur (bien que le syndrome du cœur brisé, c’est pas mal non plus dans le genre !). Juste lien entre tête et corps, en 2016, j’étais bloquée du dos pendant 3 semaines, rien de déplacé, rien d’anormal physiquement. Je venais de démarrer un nouveau boulot à mi-temps et un remplacement sur l’autre mi-temps, et là, un peu trop de poids sur les épaules, littéralement… Les médecines orientales sont bien plus anciennes et bien plus avancées que notre pourrie médecine occidentale, et tant qu’on ne comprendra pas ça, on continuera de souffrir inutilement, enfin ce n’est que mon avis. Apparemment tu travailles plus avec la médecine orientale puisque tu passes par l’étape ouverture des chakras avant les médocs avec tes patientes ! J’aimerais bien tomber sur un médecin gé et une gyneco comme toi dans mon secteur… Bonne remise d’aplomb et bon courage ! Et merci pour le partage.
Moi je veux bien un rdv avec toi juste pr te rajouter sur Gyn&co après 😉
Et perso je crois aux symptômes psychosomatiques, au fond de moi je savais qu’il fallait que je pousse la porte de la PMA, et je reculais le moment, je voulais suivre le planning de ma médecin généraliste. Et pendant ce temps là mon corps s’est mis à se disloquer: 2 sciatiques, migraines et insomnies de fou pendant des mois. Tout s’est arrêté dans le mois qui a suivi ma prise de rdv avec un vrai gynécologue spécialisé… et grand bien m’en a pris.. mon corps et mon cerveau savait depuis le début..
C’est beau, tellement bienveillant et humain. J’ai tjrs refusé la pullule car ça me fait extrêmement peur, pour moi, mon corps. Trop d’hormone a mon sens. Je te comprends tout à fait, cet article fait écho à ton bilan de LA où tu disais avoir tourné la page.. (p e qu’il s’agissait d’une autre relation). Je suis nouvelle célibataire, j’accepte ce terme ayant été avec quelqu’un qui était déjà dans une relation en mode « c’est compliqué ». Parfois ça va super, d’autres fois, je me surprends à pleurer, à m’inquiéter pour demain, sur ma capacité à re aimer, trouver l’ame Sœur. Effectivement on se met bcp la pression, j’aimerais que le prochain soit le bon.. et courir le risque de m’investir énormément pour rien. La vie est pleine de surprise, j’ai un discours g’hyper positif avec mes amis, mais totalement en décalage lorsqu’il s’agit de moi. Je me souhaite de ne plus souffrir, de faire preuve de bienveillance, de vivre pour moi et uniquement par moi, et ce pour la vie. Mon âme sœur viendra en supplément. Grosse bise. ✨
….. non pour la manière – drôle – d’amener le lecteur/la lectrice de se dire : de prendre soin de soi (et de trouver le meilleur « je »)
J’ai mis beaucoup de temps à regarder les retours sur cet article parce que j’avais peur d’avoir ouvert les vannes un peu trop grand, merci beaucoup pour ton commentaire 🙂
ah ah ah! Non, j’arriverai sur Gyn&Co par « inadvertance » je crois un jour. Oui il y a de vrais symptômes psychosomatiques mais parfois ce n’est pas évident d’être face à sa tête…
En lisant ton commentaire, je me suis demandée si je ne m’étais pas auto-commentée. J’ai les mêmes doutes, les mêmes questions, les mêmes propos avec mes ami.e.s qui vivent la même situation, je leur promets de belles choses mais j’ai du mal à croire pour moi-même. À LA, j’ai fermé la page d’une autre relation, du coup j’ai hâte de fermer ce chapitre là aussi. Je te souhaite aussi de ne plus souffrir, de ne plus avoir de coeur abîmé, de vivre bien avec toi dans un premier temps pour pouvoir ensuite être avec la personne qui te conviendra. L’amour c’est beau, ça peut faire mal mais je crois que le jeu en vaut la chandelle et qu’il faut prendre le risque. Il y aura encore de belles rencontres pour passer de bons moments et des chemins de vie. L’important c’est de les apprécier, que ce soit pour la vie ou pour un temps…Grosses bises!